Livre d'or

Corinne Bouvet de Maisonneuve

Une lectrice enthousiaste…

Chère Corinne,
nous nous sommes rencontrées à Publier et à Ripaille où j'ai acheté Khaddouj. Quel bonheur de vous lire et de se mettre à aimer votre héroïne !
Je suis momentanément à Caen pour m'occuper de mes petites filles et en profite pour lire. J'espère avoir la joie de vous revoir pour parler de ce livre si intéressant.

J'ai vraiment bien fait d'aller au Salon du livre à Ripaille.
Bien cordialement.

Jo Senaux-Granjux (Evian)

Anne

Chère Madame,
tout d’abord, bonjour d’un Paris pluvieux et gris comme l’ardoise ; pour conjurer le sort, nous dirons que bien sûr il faut de l’eau, que bien évidemment il y a aussi quelquefois des jours brillant de soleil, et que bien entendu nous prenons le temps comme il vient - et pardi, on ne peut pas faire autrement - mais 12° le matin au mois d’août ça CAILLE quand on n’est pas à 2000m !

Alors on lit « le Mat et le merveilleux ». Et là…. Pouh , ça dé-chi-re ! La boîte de fayots dans le four, je vais essayer ! J’étais pliée en deux, je ne pouvais plus respirer, c’est une trouvaille d’enfer ! Si je m’étais trouvée dans le métro, je n’aurait même pas pu le lire à quelqu’un tellement je m’éclatais. Je suis sans arrêt passée du rire aux larmes, du plaisir à la nostalgie ; votre héros est superbe de questionnement et d’étonnement, de liberté soudaine et de perte de ses « murs » jusqu’à, enfin, jeter son chapeau par dessus les moulins. Je l’ai adoré cet « orphelin » sorti de sa gangue originelle : il va découvrir sa/la vie et c’est magnifiquement poétique.

Vous avez vraiment une imagination luxuriante. Je suppose que chaque idée, chaque réflexion, chaque ambiance, passent sur un petit carnet que vous traînez avec vous ? Que chaque instant, chaque sentiment, sont approfondis afin d’en tirer la quintessence de la quintessence ? C’est cela le talent n’est-ce pas ? Oui, je crois que c’est cela.

Qu’auriez-vous fait si vous n’aviez pas écrit ? Qu’aurait été votre vie ? Je voulais être infirmière depuis toute petite, je voulais aider les autres. Et j’aurais aussi aimer être artiste peintre. Hélas, chez nous, il fallait apprendre un « vrai » métier. Je me suis donc résolue au premier choix (! ) et j’ai appris le dessin beaucoup plus tard, quand j’ai été délivrée des obligations de la vie que j’avais et qui étaient lourdes. Mais ce n’était plus pareil…c’était devenu un loisir très agréable, ce n’était plus une passion. C’est la vie ! Elle aussi prenons-là comme elle vient et embellissons-là.

Pour en revenir au livre, j’ai passé un moment de doux rêve encore une fois. C’était vraiment très, très agréable. Très, très, bon. En ce moment je le fait enregistrer à mon mari par sa lectrice. Il ne sait pas quel bonheur l’attend !

Que va nous réserver le livre suivant…. Surtout ne dites rien.

En attendant, je vous remercie encore pour le plaisir que nous avons à vous lire et relire ( oui, je relis « Georgette » ) et vous souhaite une très bonne fin d’été. Respectueusement et amicalement,

Anne

Anne Goldszer

Madame,

je ne cherche pas à vous prendre un temps certainement précieux vue la manière merveilleuse dont vous écrivez; je veux seulement vous dire merci pour le plaisir, le bonheur, la fête que vous m'avez procurés, les rêves et les images où je me suis plongée en lisant "le Roman Georgette" et "Torchebise".

Je les recommande à tous ceux qui cherchent de la belle écriture, à tous ceux qui veulent bien se laisser emporter par les ruisseaux des mots comme un déferlement de clarines. S'il vous plaît, faites-vous connaître plus, les rares qui vous lisent ne sont pas suffisants, et le bouche à oreilles pas toujours efficace: "les belles lettres" ont bien peu d'amateurs aujourd'hui et c'est triste.

Moi aussi je lis des polars, et j'adore, mais je lis également Proust, Genevoix, Colette, Katherine Pancol, ou C. Bouvet de Maisonneuve, le plaisir n'est pas le même!!!

De toutes façon je continuerai, et mon mari, d'acheter vos livres, nous sommes tellement bien dedans! alors merci, et merci encore.

Anne Goldszer

Jeff

J'achève la lecture de Torchebise.

Titillé par sa trame, que j'avais découvert sur internet, j'étais curieux de découvrir le roman et l'écrivain(e). Au risque de bousculer ta modestie, je ne peux m'empêcher de porter une appréciation : excellent ! Style souple et coulant. Des kyrielles de jeux de mots. Des norias de métaphores, dont certaines pleines d'humour. J'ai plusieurs fois franchement ri.

Quant à la trame, elle me plaît. Le personnage de Constantin évoque même certaines similitudes avec mon caractère et mon parcours de vie : responsabilité dans le monde du business (auquel j'ai tourné le dos à 44 ans), tempérament très loquace (dans certaines circonstances), insolence face à la bêtise ou l'injustice (ça m'a joué des tours mais je n'ai jamais regretté), amour de la montagne (j'y vis), découverte des bienfaits du silence (le désert et les randonnées solitaires), etc...Jusqu'à la page de couverture (mon chalet est aussi situé en bordure de forêt).

Ce roman est vraiment un éloge du silence, dont pourrait s'inspirer de nombreux dirigeants de tous bords.

Jeff

Denise

Originaire de Sciez De famille paysanne.....J ai aimé votre roman ...... TORCHEBISE...BRAVO C est un souffle d air frais ....pour les ( pauvres ) citadins que nous sommes devenus Au plaisir de vous lire encore........

Patrick C.

Votre "Torchebise" m'a beaucoup plu. Vraiment. Vous avez su entrer dans la peau d'hommes qui ont du coeur; il est pourtant difficile de bien comprendre l'autre sexe.

Honnêtement, le début m'a demandé un peu de patience. Et puis, les chapitres 18 et 19 m'ont littéralement happé : sans doute le contraste est-il voulu. Toute la suite se lit avec plaisir, l'émotion alternant avec l'humour, les descriptions bien réelles avec des sentiments que l'on croit avoir déjà perçus sans pouvoir les exprimer aussi bien.

Quelques petits détails ... célestes : le noeud papillon d'Orion, Aldébaran, l'étoile la plus brillante du ... Taureau ! Le luth : le luthiste et guitariste maladroit est très touché de trouver dans un roman se passant à notre époque une mention soutenue de cet instrument si doux. Enfin, vous allez me faire aimer les teckels, moi qui ne jurais que par les chiens de plus de 30 kg ! Et au mot chocolat, mon chien réagit exactement comme Pimaï.

Merci encore de vos mots chaleureux, En toute amitié,

Patrick C.

Lévi Serge Camille

Torchebise…

A mon auteur mère de l’année Corinne Bouvet merci pour l’humour Poésie tendresse découverte et amour

Humour dans toute votre plume on le retrouve Poésie Torchebise peut vous dire merci

Découverte tous lecteur de Torchebise Pourra grâce à vous trouver un jour Dans le monde un Torchebise à lui

Humour le plus beau de tous oui Merci Corinne de rappeler Que l’amour n’a pas d’âge

Je suis Lévi Serge Camille, ivoirien (côté d’Ivoire)

Sur tous bonne santé de fer et encouragement

Merci mère auteur de l’année Corinne Bouvet

Lévi Serge Camille, prisonnier politique ivoirien à Bangkok, Thailande